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Bot2 : le nouveau robot anti-TMS

Le 21 mai 2024, la société DIZYBOT a annoncé le lancement de son nouveau robot baptisé Bot2. L’objectif ? Réduire les risques d’accidents et de maladies professionnelles grâce à cet outil d’aide à la manutention de charges.

Bot2 se présente sous la forme d’un robot autonome capable de déterminer sa position, d’utiliser des caméras, et de détecter automatiquement les obstacles y compris dans un environnement agité. Grâce à cette solution, les travailleurs devraient consacrer plus de temps à d’autres tâches comme la vérification des commandes clients, le contrôle de la qualité des produits ou encore l’approvisionnement des chaînes de production. 

Pouvant porter des charges jusqu’à 40 kg, Bot2 est doté de plateaux modulables et bénéficie d’une gamme composée d’une dizaine d’accessoires lui permettant de s’adapter à diverses situations et à différents types de produits et de charges à transporter. D’un point de vue pratique, la solution robotique garantit une localisation en temps réel, une cartographie de haute précision, une planification d’itinéraire optimisée, et une réactivité immédiate pour éviter les obstacles. 

Avec Bot2, la société DIZYBOT ambitionne de repenser le quotidien de l’entreprise en contribuant au bien-être des industriels en diminuant le risque de TMS.

Nicolas Lefebvre

Journaliste dans la presse économique depuis 2002, il publie également un livre d’investigation aux éditions de l’Archipel en 2010. Secouriste bénévole, sauveteur aquatique et moniteur de premiers secours entre 2004 et 2018, il consacre sa maîtrise d’Histoire contemporaine à l’institutionnalisation du secourisme au sortir de la seconde guerre mondiale.En 2011, il fonde Oxygène Editions afin de publier Secours Mag, puis en 2017, SST Mag. Il assure aujourd’hui la rédaction en chef de ces deux titres de presse professionnelle.

Une réflexion sur “Bot2 : le nouveau robot anti-TMS

  • Emmanuel LOISEAU

    Si cette solution technique ambitionne d’annihiler le risque lié aux manutentions , donc de réduire les TMS, ce qui est louable, il convient d’adopter une posture d’accompagnement des salariés sur le déplacement du travail, de l’activité, pour faire en sorte que ce risque ne surgisse pas par le prisme manque de sens, manque de formation, non adhésion, tous les signaux convergeant vers la santé mentale.

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